1 mai 2008
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20:23
Plus au Nord de la réserve, s'étend une zone de végétation rase où quelques dépressions peuvent retenir de l'eau. On y rencontre peu d'arbres sinon quelques Tamaris tortueux , des touffes raides de joncs, de scirpes. Malheureusement pour moi, le superbe Iris batard (Iris spuria) qui là-bas forme des belles populations n'était pas encore fleuri.
Le ciel prend, dans ces étendues plates, une grande importance et j'ai tenté de figer un moment ou il se couvre, mais il faut faire vite.
Peindre le ciel, c'est magique... mieux vaut commencer par là car s'il est loupé, on a peu de regret à recommencer.Il faut dire qu'il y a parfois une part de hasard dans le résultat...
Pour le bleu du ciel, je me suis rendu compte que mon Bleu de Céruléum granulait trop, je crois que je vais lui préférer un mélange de Bleu de Cobalt avec un petit apport de vert émeraude Phtalo
Pour finir cette deuxième aquarelle j'ai presque dù travailler de mémoire car un orage esr brusquement arrivé; toutes les belles couleurs au sol s'étaient éteintes et le Tamaris où jouait le soleil n'avait plus rien d'attrayant. C'est pourquoi l'aquarelle reste inachevée. Je me rends compte que c'est ce que j'aime et la plupart du temps, je passe trop de temps à fignoler pour un rendu final qui ne reflète plus un moment donné, et c'est bien cette recherche de la lumière d'un moment qui fait tout l'intérêt de ces pochades à l'aquarelle.
Le ciel prend, dans ces étendues plates, une grande importance et j'ai tenté de figer un moment ou il se couvre, mais il faut faire vite.
Peindre le ciel, c'est magique... mieux vaut commencer par là car s'il est loupé, on a peu de regret à recommencer.Il faut dire qu'il y a parfois une part de hasard dans le résultat...
Pour le bleu du ciel, je me suis rendu compte que mon Bleu de Céruléum granulait trop, je crois que je vais lui préférer un mélange de Bleu de Cobalt avec un petit apport de vert émeraude Phtalo
Pour finir cette deuxième aquarelle j'ai presque dù travailler de mémoire car un orage esr brusquement arrivé; toutes les belles couleurs au sol s'étaient éteintes et le Tamaris où jouait le soleil n'avait plus rien d'attrayant. C'est pourquoi l'aquarelle reste inachevée. Je me rends compte que c'est ce que j'aime et la plupart du temps, je passe trop de temps à fignoler pour un rendu final qui ne reflète plus un moment donné, et c'est bien cette recherche de la lumière d'un moment qui fait tout l'intérêt de ces pochades à l'aquarelle.